Invité sur le plateau de l’émission « Quotidien », Franck Gastambide, acteur et réalisateur reconnu, s’est montré particulièrement ému en évoquant l’obtention de son premier diplôme. Cet événement a mis en lumière son parcours semé d’embûches, marqué par des handicaps invisibles et une détermination sans faille. Retour sur une émission pleine d’émotions.
Franck Gastambide : Une carrière couronnée de succès #
Avec une carrière impressionnante, Franck Gastambide est une figure incontournable du cinéma français. À 46 ans, son talent et sa persévérance ont été récompensés par l’Ordre des Arts et des Lettres. C’est avec une immense fierté qu’il a partagé cette distinction, un sentiment renforcé par le chemin parcouru depuis ses débuts modestes.
La Cage : Une nouvelle série inspirante #
Le réalisateur de « Taxi 5 » dévoile prochainement sa nouvelle série, « La Cage », sur Netflix. Composée de cinq épisodes intenses, cette production s’ancre dans le monde de la MMA, promettant des scènes captivantes. Lorsque Franck Gastambide s’est rendu dans « Quotidien » pour discuter de ce projet, il ne s’attendait sans doute pas à pouvoir exprimer autant d’émotions.
Une reconnaissance tardive mais méritée #
Le 12 juillet dernier, Franck Gastambide surprenait ses abonnés en annonçant qu’il avait été nommé Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres. Un moment fort de sa vie lorsqu’il a écrit à sa mère pour partager la nouvelle. « Je suis Chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres », a-t-il avoué, rappelant son parcours scolaire difficile marqué par la dyslexie et la dyspraxie.
Un moment émouvant dans « Quotidien »
Au cours de l’interview, en parlant de ses réalisations, Franck Gastambide n’a pu contenir son émotion. Il a confié à Yann Barthès : « Je n’ai jamais eu de diplôme de ma vie ». Sa voix tremblait lorsqu’il évoquait l’honneur d’avoir enfin pu obtenir une distinction officielle à 45 ans.
Des mots poignant envers sa mère
En évoquant le message émotionnel qu’il a envoyé à sa maman, Franck Gastambide est apparu profondément touché : « Ça peut me faire pleurer, il ne faut pas que je le lise ». Cette séquence, pleine de sincérité, a trouvé un écho chez le public, témoignant de la force des émotions présentes ce soir-là.